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Les Yeux du Monde.

19 mars 2010

Menton/Nice

Ce fût le complet retour après des millier et des milliers de kilomètres!
Par les mêmes moyen de transport - train et bus -  avec lesquelles, j'étais parti.
Je m'installa au café en face de la gare de Nice, et commanda un chocolat, avec des croissant
Je dégustais cela, et n'arrivait pas, à donner une une dimension à ce que j'avais fais!

Gare_de_Nice_Ville

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19 mars 2010

Et le train repartis...

Venise, Milan, Ventimiglie!
C'était pleinement l'Occident, et j'allais rentré  chez moi à Nice.
A Ventimiglie, je cachais mon H, dans un un paquet de Gitane, que je jetais dans la poubelle des toilettes.
Lorsque que le train fût à la frontière, vers Menton, des CRS montèrent et me demandèrent poliment mes papiers.
Je brandis mon passeport, et tout fût ok!
Je récupérais après Menton mon H.

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17 mars 2010

Triestre

Je saluais mes amis italien, sur le quai, en partance vers le sud. Ils avaient le courage de vouloir vendre leur H, en dehors des circuits de la mafia.Ce fût un respect réciproque! Ce qui est rare!

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15 mars 2010

Trieste! Frontière Italo/Yougoslave.

On devait entrer en Italie!
Mes copains italiens depuis Téhéran,  me percevaient alors, comme trop nerveux, pour passer avec eux, leur gros paquet de H, simplement afin d'avoir une autre bagnole.
Ils me donnèrent un petit morceaux, et me demandèrent d'aller dans le compartiment d'à côté.
J'acceptais.
Les douaniers italiens entrèrent très poliment, dans mon compartiment, en grand uniforme de carabinier, avec un chien.
Ils voulurent, que le chien renifla mon sac.
Le chien mit sa gueule dans mon sac, et je tapais sur la toile  de ce sac.
Un air épouvantable se propagea et ce chien se retira  brusquement; les douaniers italiens me saluèrent d'un au revoir, très militaire.
Tout le monde passa cette frontière sans encombre.

trieste

15 mars 2010

Traversée de l' Ex Yougoslavie.

A toute allure avec  mes deux trafiquants italiens.

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8 mars 2010

Mise au point!

Il y a deux façon d'entrer dans l'œuvre de Céline.
L' antisémitisme français, ou la Beat Génération.
Moi, je suis entré dans les textes de Céline par Geinsberg, et Kerouak.
Je faisais mon propre Voyage, au bout de ma propre Nuit....et de ma propre Route.
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8 mars 2010

L' ex Yougoslavie!

Une longue traversée. Peuplée de mon imaginaire. Où la première fois, pour mon premier voyage  de retour d'Istambul, je lisais Gignol's Band de Céline.
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Certainement, son chef d'œuvre!

4 mars 2010

La frontière Bulgare.

On pénétrait donc en Bulgarie.  Un petit état soviétisés aux milieux des Balkans. Un grand général ou amiral , aux grand Képi, nous demanda nos papier. Ce n' était qu'un simple douanier. Je fus, comme irrésistiblement mort de rire, bêtement provocateur, ce qui le vexa. "L'amiral" à la casquette immense me fouilla. J'avais du haschich dans mes poches. Il palpa mon torse, sauta mes poches, et poursuivit sur les jambes! Il ne tomba pas sur le haschich que j'avais simplement dans ma poche.
La bêtise n'a pas de frontière, ni d'idéologie....

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25 février 2010

La gare d'Istambul.

Je retrouvais mes deux Italiens à la gare d'Istanbul, pour un train en partance vers l'Europe. Un Orient Express bien  sûr. Cette gare avait toujours eu dans mes voyages, une atmosphère particulière, un non lieux; ce fût une arrivée, un départ, un retour,... Cet endroit daté par son architecture du 19 siècle - des arcades plus ou moins baroques, jointes au sommet par des verrières - symbolisait bêtement l'aventure, mais réellement l'ouverture au monde.
On s'installa dans un compartiment, prêt au voyage de retour; mais on fût déjà harcelés par des "forces de l'ordre" turc, pour nos papiers.

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20 février 2010

Istambul...Toujours un rêves!

Dans le quartier, plutôt le carrefour, des routards, prés de la Mosquée Bleu, les Italiens et moi priment un hôtel, aux odeurs lourdes et parfois grasses de la ville. Les deux amis avaient leur chambre, et  moi je partageais une autre chambre, avec -comment dire de nos jours  - un vrais hippie/beatnik de l'époque.
Le lendemain nous fûmes réveilles par la voix du muezzine relayée par des hauts parleurs. Après que je me suis  rendormi, j'ai vu que mon colocataire préparé un shilom. Ce fût une vrais cérémonie. Je n'avais jamais vu fumer comme cela! Il sépara divers morceau de la ganga, les choisis, bourra soigneusement son shilom, mouilla justement un chiffon, fuma et me l'offrit. Ce fût tellement bon et doux, que le rêve pris immédiatement une dimension océanique. Je proposais une cigarette à mon ami; il refusa, car c'était mauvais pour la santé....
Mon rêve se développa tout la journée.

istambul

7 décembre 2009

Istambul comme ville de retour!

Qui pouvait imaginer cela? Dans ce trajet un peu fou!
D'une façon, c'est comme, si je me retrouvais chez moi.
Mon voyage prenait sens;un vrais parcours enduré.
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2 décembre 2009

Ankara/Istambul.

Avec mes copains Italiens ont pris un car pour Istanbul
Le fait de revenir à Istanbul symbolisait, pour moi, le vrais retour.
Durant ce trajet, le chauffeur du car n'arrêtait pas de fumer de gros pétards de haschich. Nous fûmes même enivrés, sans même avoir rien pris directement. J'avais peur qu'il nous foute dans un fossé!! Mais, il conduisit correctement.

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27 novembre 2009

Frontière Iran/Turqie vers Ankara

Ankara est la capital de la Turquie.
Le car fonçait vers cette destinée.
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Cette capital était sèche, sans âme, comme un lieux dit dans un désert, avec quelques maisons. Attaturk le fondateur de la Turquie moderne, dans ses visées stratégique avait du imaginer l'enrichissement de cette citée.

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26 novembre 2009

Frontière Iran/Turqie au retour.

C'était une forteresse ! Un fort de pierre avec des soldats, devenant une enclave administrative.
Des dizaines de camions venues d'Iran patientés en une longue file, devant la douane Turque, pour franchir cette  zone.
Nous fûmes encore fouillés, dans ce bus avec les Italiens, et le douanier me demanda si j'avais une arme!!!!
Bien sûr que non, je n'étais qu'un voyageur.Tout se  passa bien.

20 octobre 2009

Théhéran, Istambul!

Mes deux italiens voulaient rembourser leur voiture cassée, avec le haschich qu'ils avaient acheté en Afghanistan! Ils me demandèrent comment s'effectue la vente du H en France? J'en savais rien moi! Et la Mafia. me dirent-ils? En Italie elle dirige tout! Je répondis qu'ils n'y avait pas de Mafia en France! Ils en furent stupéfiés.

24 septembre 2009

Mes "copains" italiens.

Je ne voulais plus continuer avec le car qui m'avait amené de l'Inde. Ce n'était, pour moi, un vrais voyage; ce n'était qu'une forme de transport international. Si je n'avais pas été aussi malade, je me serais arrété à Hérat, en Afghanistan.
Mais, on ne peut s'arrêter en Afghanistan, malade comme un chien!
Les deux italiens me dirent, qu'ils avaient cassé  leur voiture sur la  route de Kaboul, et qu'ils avaient acheté un gros paquet de haschisch , pour en prendre une autre.
On décida de faire route ensemble, vers Istambul.
J'aimais bien parler Italien.
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24 septembre 2009

Et de nouveau Téhéran!

Le même hôtel que pour le voyage de l’allé. Je pris une douche très chaude, et comme par magie, ma fièvre, ma grippe violente que je trimbalais depuis l’Inde s’évanouissa.

Je descendis à la salle du Coffee Shop, où je rencontrais deux italiens.

Par ailleurs, je réglais ce que je devais au conducteur du car, qui m’avait menait de New Delhi à Téhéran.

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15 septembre 2009

De Mashhad à Théhéran!

J'essayais toujours de survivre.
Cette saloperie de grippe ne me quittait pas.
Je lisais des "Maigret" de Simenon sur de longues lignes droites, des routes rectilignes - le commissaire prenait son demi de bière tranquille sur des boulevards parisiens, et moi je crevais de fièvre, dans le désert iranien glacé...

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14 septembre 2009

Le retour du rêve!

Avant d'arriver à Machhad, nous prîmes de l'essence à une pompe dans le désert, et de la fenêtre du car, je vis que le prix de l'essence était à 18 centimes (FF) , le litre en Iran. J'en fus  stupéfié.
Le propre du bon voyageur, n'est il pas de savoir se surprendre?

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Je voulais explorer Machhad. Je partis seul dans ses méandres. Vers le centre, où se concentre les lieux sacrés, je vis une colonne d'hommes vêtus de  noir qui s'avançait en cadence. En tête, il y avait des tambour frappés dans un rythme sourd - un bruit grave et profond - suivis de drapeaux vert, portés avec virulence.

Et ce fût des colonnes d'hommes, qui sur leur chemise noir, se frappaient les épaules avec des chaînes, jusqu'au sang...

Une sorte de frayeur m'envahit, devant cette manifestation massive et funeste. Je n'avais rien à faire là; face à, une telle puissance mystique et si mortifère...

Je me réfugiais dans une maison de thé. Là, je fis la connaissance, d'un jeune étudiant Iranien qui me montra son livre de français. Il me montra une photo d'un village au bord de la mer.

C'était Villefranche sur Mer, mon pays!


24 avril 2009

En Iran à la frontière, vers Mashhad

De nouveau une frontière. En fait, mon voyage consistait à franchir des frontières, que je ne pouvais anticiper ou même imaginer. Au poste Iranien, on me fouilla méticuleusement. Un douanier essaya même de dévisser ma canne à paumeau, que j'avais acheté à  New Dehli!
Le français trafiquant de pierres précieuses, après sa fouille  au corps, se retourna vers nous, à la barbe des douaniers, et nous montra, au creux de sa main,  une burette d'huile de haschich.
Drapé  dans ses fourrures de renard, il était un héros à mes yeux.

imam

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