22 mars 2008
Katmandou, poésie et rage de vivre!
J’avais
le sentiment de me redéfinir.
De pouvoir renaître.
Katmandou devenait à la fois un point d’aboutissement et de renaissance.
La beauté des lieux était hallucinante, une architecture flamboyante unique au
monde.
La Chine était proche, le Tibet était immédiat;
tout cela s’exprimait dans un vertige froid, inaccessible.
Je ne pouvais rêver sur
Cependant, il fallait que j’aille plus loin. Ce plus loin demeurait indéfini.
Je laissais les bouges de Katmandou, pour retourner en Inde.
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