24 septembre 2009
Mes "copains" italiens.
Je ne voulais plus continuer avec le car qui m'avait amené de l'Inde. Ce n'était, pour moi, un vrais voyage; ce n'était qu'une forme de transport international. Si je n'avais pas été aussi malade, je me serais arrété à Hérat, en Afghanistan.
Mais, on ne peut s'arrêter en Afghanistan, malade comme un chien!
Les deux italiens me dirent, qu'ils avaient cassé leur voiture sur la route de Kaboul, et qu'ils avaient acheté un gros paquet de haschisch , pour en prendre une autre.
On décida de faire route ensemble, vers Istambul.
J'aimais bien parler Italien.
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