25 juin 2008
Il fallait que je vive!
La chambre que j'avais louée, en plein Dehli, était
directement exposée à la rue! Ma porte donnait sur une rue, très peuplée le
jour.
Le soir, un gardien avec un bâton, essayait d’établir une
sécurité.
J’avais de la fièvre, beaucoup de fièvre.
Pour me reposer, je lisais du Balzac, du Zola.
Je ne savais plus, si cette fièvre, était mentale ou
physique !
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