30 décembre 2007
New Delhi seul !
Cet hôtel fût le seul endroit où je pu vraiment me reposer depuis longtemps: tout le confort occidental, incrusté dans la réalité de l’Inde.
Je m’enfermais dans ma chambre avec des œuvres d’Eluard: le Capital de la douleur et les Yeux fertiles. Je lisais et relisais ces poèmes.
Surtout les Yeux fertiles.
La simplicité d’Eluard me ravissait.
J’étais encore mentalement dans un univers occidental.
Mais la confusion, le chaos infini de l’Inde commençait à m’apparaître.
Publicité
Publicité
Commentaires